L'état de droit
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BOURSES FAMILIALES (CAISSE d'ALLOCATION FAMILIALE)
A l'occasion de cette fin d'année 2018 l'Union Européenne en collaboration avec la Banque Mondiale, le Fonds Monétaire International et la Caisse d'Allocation Familiale ( CAF) octroie des bourses familiales aux citoyens issus des pays de l'UE. Cette bourse est accordée sous forme d'aide sociale aux familles compte tenu de leur situation matrimoniale afin de leur permettre de réaliser leur projet et de financer l'Education de leurs enfants en particulier. Pour bénéficier de cette il faut être un citoyen Européen et jouir de ses droits civils .Voici ci-dessous les paramètre et conditions a remplir pour bénéficier de cette bourse familiale.
*2500 Euros pour un couple sans enfants
*7500 Euros pour 1 a 3 enfants
*10000 Euros a partir de 5 enfant et plus .
Veuillez envoyer votre demande à monsieur CHRISTIAN CAHUZAC pour avoir plus de renseignement sur l'offre. Il m'a déjà aidé à obtenir 7500 Euros:
financialglobal.cahuzac@gmail.com -
3ème RENCONTRE TERRITORIALE DES CONSEILS CITOYENS -SAMEDI 10 NOVEMBRE 2018
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Madame,
Monsieur,
Le samedi 8 octobre 2016, s'est tenue à Montpellier, la 1ère rencontre des membres des conseils citoyens.
Lors de cette journée, à laquelle ont participé prés d’une centaine d’entre vous, je me suis engagé à organiser, chaque année, une rencontre similaire.
J'ai donc le plaisir de vous inviter à participer à la 3ème rencontre territoriale des Conseils Citoyens qui se tiendra le samedi 10 novembre prochain de 09 h 00 à 16 h 30 à :
LA FACULTÉ D'ÉCONOMIE
Espace Richter
Avenue Raymond Dugrand
34960 MONTPELLIER
Cette rencontre permettra d’accueillir les nouveaux conseillers citoyens issus, selon le cas, de l’actualisation ou du renouvellement effectué en 2018, de poursuivre le partage d'expériences et de recenser vos besoins, notamment en termes d'accompagnement et/ou de formation.
Ce sera donc un temps d'échanges et d'information qui concernera l'ensemble des conseillers citoyens du département, l'objectif étant de favoriser un dialogue constructif entre vous et vos partenaires.
Comme le précise le programme ci-joint, l'essentiel de la matinée sera consacré à des ateliers dont l’objectif principal est de recenser et présenter les bonnes pratiques qu’il convient de mettre en œuvre au sein de votre conseil, mais aussi d'identifier les difficultés que vous pourriez rencontrer sur le terrain, tant d’un point de vue logistique et organisationnel qu'au niveau des échanges avec vos interlocuteurs.
L'après-midi sera consacrée à une restitution, en séance plénière, des travaux de la matinée.
Comme l’an dernier, j'ai souhaité que cette rencontre se tienne un samedi afin que vous puissiez, pour ceux et celles d’entre vous qui travaillent en semaine, vous libérer pour participer à cette journée.
Pour la même raison, un système de transport collectif, pris en charge par l'État, sera mis en place pour celles et ceux qui le souhaitent et qui résident en dehors de Montpellier.
Je vous propose d'être présent à cette journée également ouverte, sur l’ensemble du programme, aux élus, aux conseillers citoyens, aux techniciens des services de l'Etat et des collectivités signataires des contrats de ville, afin que la discussion s’engage entre un maximum d’acteurs et que des actions concrètes et susceptibles d'être mises en œuvre rapidement soient décidées à l’issue de cette journée.
Vous pourrez vous inscrire à la journée, aux ateliers, au buffet et au transport en suivant le lien suivant :
https://www.inscription-facile.com/form/ioEOWmXHbvb2llgsVaM5
au plus tard le 31 octobre 2018.
Pour toute difficulté liée à l’inscription, vous pouvez prendre contact avec la direction départementale de la cohésion sociale au numéro de téléphone suivant : 04 67 41 72 72.
Je vous remercie de votre engagement et vous prie de croire, Madame, Monsieur, à l’expression de mes sentiments les meilleurs.
Le préfet,
Pierre POUËSSEL
Direction départementale de la cohésion sociale -
INVITATION au centre social CAF de la Mosson demain jeudi 17h30
Bonjour,
Vous êtes membre du Conseil Citoyen : une rencontre a lieu entre les 2 conseils citoyens de la Mosson et le réseau associatif et institutionnel Pailladin (qui existe depuis 20 ans) et qui travaille aussi pour ce territoire.
Ce temps d'échanges a comme objectif de présenter le réseau et les commissions du réseau aux conseils citoyens sous un format convivial.
Nous vous attendons nombreux (sans formalité) si votre temps est disponible, pour communiquer et échanger ce jeudi 18 octobre de 17h30 à 19h30 au centre social CAF l'île aux familles (410 Avenue de Barcelone) !
Bonne journée.
Bien cordialement. -
En quoi ?
"On" évite de le dire mais la constitution suisse a servi, en grande partie, à l'élaboration du projet de constitution européenne. On y retrouvait parfois des paragraphes presque retranscrits mot à mot... -
Confusion qu'il serait préférable d'éviter et les articles encadrant l'utilisation du référendum ne sont guère précis, rien que dans la constitution française actuelle sur le point qui nous intéresse.
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Excuse moi mais, on s'en contre fiche de ce que pense le monde politique. Néfaste pour eux, pas pour la démocratie (le cas suisse est un cas particulier).
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C'est de cette remarques dont je parlais, pas les autres. Cela fait bien longtemps que le principe du referendum est une "bête noire".
Par loi j'entendais : les articles de toutes les constitutions des pays européens qui encadrent l'utilisation du référendum. -
Je ne vois pas du tout le rapport entre ma remarque et "inconscient collectif" et "peur chronique", syndromes franco-français, alors qu'un de mes exemples est la Suisse qui, elle, pratiquement couramment votations populaires et référendums (au moins quatre fois par an, je le rappelle).
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Ces deux actualités ne sont pas la conséquence de la peur des referendum (celui de 2005 n'a fait que confirmer la tendance mais le fait que ce soit un referendum supra national change la donne). Elle est beaucoup plus profonde en France. Elle remonte à l'année 1969. Le président, totalement irresponsable de fait peut indirectement engager sa responsabilité par cette condition : en France, le referendum est, dans l'inconscient collectif, un vote de confiance qui met le président désavoué dans une posture extrêmement inconfortable... d'où la peur chronique d'en proposer. Devrais-je démissionner si je suis désavoué ?
Mais par essence, le referendum est compatible avec les notion de démocratie et État de droit : d'ailleurs, les lois qui sont votés par referendum ne font pas l'objet d'un contrôle de constitutionnalité car précisément elle sont issu du pouvoir constituant (vaste et intéressant sujet). Et les lois qui l'endiguent sont là pour éviter ce qui s'est passé en Suisse il y a quelques mois. -
Bonjour,
Je comprends pas trop ce que tu veux dire par cette problématique (sur les deux sujets). Le referendum est tout de même bien instigué par les gouvernances ? Alors comment une réponse, même si elle n'est pas souhaitée par ceux même qui l'ont proposée, peut-elle mettre à mal la démocratie ? La question posée est toujours mesurée et est toujours soumis à un grand formalisme.
Deux exemples :
1°) Le "vote populaire et démocratique" français sur la constitution européenne qui a répondu non. Vous avez vu comment ceux qui pensaient que c'était une mauvaise réponse ont contourné la difficulté ? Ce choix, pourtant direct (en Suisse, on parlerait de "démocratie directe")(ou plus exactement - sans entrer dans les détails - de "démocratie semi-directe"), est-il vraiment bien respecté aujourd'hui ?
2°) Le récent "ramdam" hystérico-médiatique provoqué par le vote suisse sur les minarets, pourtant l'expression directe, par référendum/votation populaire, dite "de la volonté d'un peuple". Enfin, disons que c'est ce qu'on disait jusque-là. Vous remarquerez d'ailleurs que ce sont les mêmes qui ont hurlé à la "manœuvre de Sarko" pour l'histoire ci-dessus, qui montent aujourd'hui "au créneau" sur le vote suisse et avec des arguments exactement inverses.
Contrairement à ce qu'ont l'air de dire tous les "observateurs autorisés", la CEDH a un drôle de problème sur les bras : [u:1oqnxtlq]pour la première fois de son existence[/u:1oqnxtlq], elle doit tout simplement déclarer qu'un référendum est contraire aux principes tirés de la déclaration universelle des droits de l'homme.
Alors que le principe même d'un référendum est celui qui se rapproche le plus de ces mêmes principes…
Accessoirement, depuis ces deux histoires, vous avez vu les commentaires de tous nos hommes politiques, qu'ils soient de droite ou de gauche, sur l'éventualité d'organiser une référendum pour régler telle ou telle question ?
Aujourd'hui, manifestement, le principe du référendum est devenu leur "bête noire"…
- un référendum ? Surtout pas !
D'où - par voie de conséquence - la question de savoir si le principe du référendum est bien compatible avec la notion de démocratie et avec la notion d'état de droit… -
Merci a vous . Je vais donc suivre vos nombreux conseils et faire de mon mieux ^^
la dissert est pour la semaine prochaine j'ai donc encore un peu de temps pour la fignoler .
je vous ferais part de mon plan définitif bientôt .
si d'autres personnes ont des idées intervenaient ! tout aide est utile =)
Encore merci -
Salut
Je comprends pas trop ce que tu veux dire par cette problématique (sur les deux sujets). Le référendum est tout de même bien instigué par les gouvernances ? Alors comment une réponse, même si elle n'est pas souhaitée par ceux même qui l'ont proposée, peut-elle mettre à mal la démocratie ? La question posée est toujours mesurée et est toujours soumis à un grand formalisme. -
Bonjour,
Avec, éventuellement (mais je vous fais peut-être un cadeau empoisonné...) un raccordement avec ce sujet...
Le referendum en Europe
Un référendum est-il l'expression idéalement aboutie d'une démocratie et d'un état de droit ou, au contraire, un "risque létal" pour ladite démocratie/ledit état de droit quand la question posée et la réponse apportée ne "vont pas dans le bon sens", vu par d'autres grands démocrates et autres défenseurs de l'état de droit ? -
L'idée c'est un peu celle là. Tout en sachant qu'on ne doit pas être que dans la description cursive mais aussi et surtout dans l'analyse :wink:
Bon après, il faut tenter tout de même d'étoffer un minimum pour pas que ça fasse trop "plan type", cliché. -
bonjour,
déjà merci pour toutes ces précisions, j'ai donc changé complètement mon plan en faisant :
I/ points communs entre démocratie et état de droit
II/ différences entre démocratie et état de droit
est-ce une meilleure méthode que la précédente ? -
Salut =)
Attention à ne pas tomber dans cet écueil !
Le sujet : "Démocratie et État de droit" n'appelle surtout pas le sujet : 1) Démocratie ; 2) État de droit.
Il faut faire le contraire.... A quoi servirait ta dissertation si tu cloisonnais de la sorte les parties ?
La réflexion de départ n'est pas : d'un côté je m'intéresse à la démocratie et de l'autre à l'État de droit. Si le sujet est présenté de la sorte, c'est justement pour traiter ces deux "concepts" conjointement.
Ainsi, la piste de départ prend corps à travers leur assimilation : un État démocratique implique-t-il systématiquement un État de droit (non) et réciproquement (il semble que oui) ?
Un État démocratique est un État qui applique le pluralisme et un certain partage des pouvoirs (...).
Un État de droit est un État dans lequel le pouvoir est rationalisé, où l'on protège les libertés individuelles et collectives, où les pouvoirs sont séparés, où l'État est soumis à son propre pouvoir (hiérarchisation du droit, des normes ; pyramide des normes kelsenienne)... -
Bonjour, je suis en première année de droit, j'aurais besoin d'un peu d'aide pour la construction d'un plan.
le sujet est : démocratie et état de droit.
Pour moi les deux grandes parties seraient donc 1 la démocratie et 2 l'état de droit avec une présentation et les règles qui s'y appliquent, suis-je sur la bonne voie ?
d'avance merci .
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